vendredi, novembre 24, 2006

Il fait beau



comme un air de jamais vu.

bois brûlé, cendres .... soleil .

Il pleut vraiment ?


-"ah du chou fleur !"
-"OOOOOOOOOOOoooooooooo"
-"ça grrrrrrriffe !!!"
-"nan ! pas le tiranozaur !"
-frustration
-"sponge ! amiot !"
-"mentos gum (gout fruit merde)"
-"il est ou ton trou ?"
-"baudoin ! pourquoi notre enfant est moche !"
-"OOOOOOOOOoooo on est bête !"
-"ça c'est une autre emission !"
-"si je l'étais ouais ce serait lui oo oui ! ah oui moi je sais aussi !!"
-"c'est la boite de chewing-gum de D "!! ------->"comme la première lettre de ton prenom uh uh"
-"ça va se regler par un heure de colle"
-"j'ai faiiiiiiiiim"

.....


_____________°°°°ZEN°°°°_______________









OO°°

lundi, novembre 20, 2006

Then ...


Then I say OOOOOOooooooo

and start again ....
*ù$ÔOOOOOooooooooooo°°°°°oooooooooOOOOOO*ù$

mardi, novembre 14, 2006

principe de la chute

(Pour commencer tu as peur.)
Tu t'agrippe à la rampe fermement, très fermement !
Tu regarde en bas et tu as peur.
C'est pour ça que tu met longtemps à poser ton pied sur la première marche.
Celle là tu ne l'oublieras jamais !! Entre le moment ou ton pied decolle du sol et celui où il vient se poser sur la marche il te semble qu'il se passe une éternité. Tout est ralenti. Quand ton pied touche enfin la marche, le contact est etonnant, innatendu. Tu retire vite ton pied qui te semble déjà se consumer de l'interieur. Mais le contact est tentant. Tu y retourne, encore, prudement tu le pose progressivement, des orteils au talon , du talon aux orteils... Le deuxième pied suit sans embarras.
La première est franchit, la plus dure. Enfin il te semble. La deuxième arrive rapidement, la troisième enchaine, à croire que la quatrième vient chercher ton pied !
La descente a comencée, impossible de faire marche arrière.
Tu t'agrippe toujours à la rampe mais tu prend de l'assurance. L'escalier ne te semble plus si escarpé, tu t'allonge, cesse de te recroqueviller. Tu regarde même en bas sans crainte, tu continu encore et encore.
Les marches viennent te chercher d'elles mêmes il ne te semble plus necessaire de faire un quelconque effort...
Tes mains se detachent progressivement de la rampe, lentement, l'une après l'autre. Enfin tu marche seule le vertige te prend, mais ce n'est que pour plus de plaisir, tu as confiance, tu avance, encore, encore.
Tes pieds accelèrent, il te semble que tu ne les contrôles plus, tu marches vite, si vite, tu trottine, tu cours, les mains dans le vent. Tu ne cesse de confiance, tout t'emerveille, plus rien, plus rien ne t'arrêtera, tu en es sure, tu accelère encore tant que possile, tes jambes s'emportent, tout est si armonieux, un pied après l'autre en symbiose. Tout est si beau, tout ! Tu ouvre la bouche pour avaler les papillons.

Et à ce moment là, ce moment précis, celui là, ça arrive.

Tu ne sais plus bien si se sont tes jambes qui se sont emmêlées , si c'était la marche bancale ou ce carreau brisé qui t'ont fait basculer, mais tes mains n'étainet plus sur la rambarde.
L'éscalier a changé, le plafond s'est retrouvé sous tes pieds, la rambarde sous ta tête...
La levitation t'as parrue irréelle, comme songée, rêvée... impossible. Et pourtant ...
Tu as ben fini par retomber, les papillons ont disparus, tes jambes encores sous le choc s'acharnaient à courrir dans le vide. Tu crois qu'elles se sont brisées. Tu était là allongée sur le carreau froid en bas de l'escalier, tu reagrdais ce que tu n'avais pas su voir: le plafond. Ta course t'as semblée si stupide, tu as haïs tes jambes pndant longtemps. Tu t'es juré de ne pas redescendre l'éscalier.
Tu es restée là longtemps, si longtemps. Jusqu'à ce que tu t'apperçoive que tu n'étais pas en bas de l'escalier, que derrière toi, sous ta tête se deroulait la première marche du deuxième palier.

Tes jambes se sont remises de la chutte, elles se sont ennervées, l'inactivité ne les satisfesait pas. Des pultions frénetiques partant de la plante des pieds ont finit par gagner le rese d eton corps. La 1ère marche tendait son dos lisse, tes jambes crepitaient et contre ton grès tu t'es relevée.
Tu as agrippé la rampe fermement, très fermement...

vendredi, novembre 10, 2006






mathilde dit:
ouao l'amitié mm l'amour entre soeur c kkch de formidable
AA$^ù*mudhonney et je bois du thé :
n'est-ce pas
mathilde dit:
c inée naturel et tellement émouvant
AA$^ù*mudhonney et je bois du thé :
ahah
mathilde dit:
ke j'en chiale comme un sac à merde tien
AA$^ù*mudhonney et je bois du thé:
ahahahahahah oh j'adore !

AA$^ù*mudhonney et je bois du thé:

oh princesse sparkle tu me fais rire !

mathilde dit:
a ça y est les larmouille viennent et je fé ds mon froc



Ce fut le moment princesse sparkle céremonie au rose ma blonde de blonde

dimanche, novembre 05, 2006

ouachhhh $^ù*°° YOUHOU vacs

get out of my way or i'm gonna shove ...

pince pince ahahaaaaaaaaa^$*ù)°°

decapitée



mr café kebab


vert / grain de beauté ....